Les princesses nues du guetteur mélancolique

Il se trouve que Guillaume Apollinaire a écrit un poème titré « printemps » dont les Soirées de Paris, la revue dont il est à l’origine, a le plaisir de vous présenter un extrait.

« Et toi mon coeur pourquoi bats-tu, écrivait-il, comme un guetteur mélancolique, j’observe la nuit et la mort. »

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