Ecrire ses souvenirs de peintre lui a pris une douzaine d’années. C’est dans un souci de contrôler sa postérité, alors qu’elle avait été si souvent calomniée de son vivant, qu’Elisabeth Louise Vigée Le Brun entama en 1825 l’écriture de ses mémoires (1). Pour l’inciter à s’y mettre, ses proches lui auraient glissé que si elle ne le faisait pas elle-même « on » les rédigerait à sa place et « Dieu sait ce que l’on écrira ! » (2). Elle s’y mit et commença leur rédaction à partir de lettres qu’elle avait échangées avec des amis qu’elle comptait parmi les grands de quelques cours d’Europe, dont elle avait sans doute brossé le portrait de la main d’experte qu’on lui sait. Continuer la lecture
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