Le meilleur pour la fin. Disons plutôt, entame égoïste, le meilleur de l’émotion pour faire chavirer le cœur du Brestois qui vous cause. « Barbara » de Jacques Prévert. «Rappelle-toi Barbara / il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là», et voilà le spectateur d’emblée brusquement plongé dans la rade et au milieu des ruines, des cendres de la guerre et de l’amour détruit. «Il ne reste rien», telle est la chute de ce poème écrit au lendemain de la Seconde guerre mondiale. Un poème offert en rappel au public de l’Odéon au terme d’un rare moment de grâce.
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