Heureusement que l’on ne croise pas de lamas dans le métro. Contrairement au pangolin (encore que cela reste à vérifier), ce camélidé d’Amérique du Sud crache en effet jusqu’à trois mètres. Or, si l’on veut bien imaginer un lama d’une part agacé par un sujet quelconque et d’autre part ayant longuement ruminé des herbes farcies au covid 19, on anticipe avec effroi les conséquences infectieuses d’une telle rencontre, si d’aventure il s’en laissait accroire sur les charmes et mystères de la station Mouton-Duvernet. Pure science fiction naturellement. D’ailleurs pas besoin de lama, un éternuement d’humain pulvérise le contenu nasal jusqu’à six mètres. D’où l’utilité des masques, mais surtout de la presse quotidienne. Un journal convenablement déployé pour être lu, constitue en effet une protection appréciable. Continuer la lecture
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