Un jour de 1917, Pablo Picasso se balade dans les rues de la cité antique de Pompéi. Il ramasse une feuille de laurier et inscrit dessus : «A mon ami Guillaume Apollinaire/POMPEI/Picasso/1917», avant de lui adresser. C’est l’un des plus dérisoires objets présentés à l’exposition qui vient de débuter au musée de l’Orangerie et consacrée à l’univers du poète. Contrairement aux souvenirs qui sont «cors de chasse dont meurt le bruit parmi le vent» ainsi que l’écrivait Apollinaire, celui-là a été conservé jusqu’à nous, résumant toute une amitié sur quelques centimètres carrés. (Ci-contre: portrait d’Apollinaire par Matisse. Photo: PHB/LSDP) Continuer la lecture
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