L’art souriant du photographe et sculpteur, Chan Yue Hin, raisonne comme une poésie à la musicalité pétillante. Une irrésistible joie de vivre, rafraîchissante et réconfortante, transpire de la plupart de ses œuvres. Sans doute reflètent-elles l’allégresse de l’artiste lorsqu’il est plongé tout entier dans son élément, la nature, sa source d’inspiration première. « J’ai besoin d’espace. Quatre choses sont très importantes pour moi, les beaux-arts, la nature, la verdure et la tranquillité », confie-t-il. Naturellement, au lieu de vivre en ville, Chan Yue Hin a pris ses quartiers dans le village de Lam Tsuen, au cœur de la campagne bucolique de Tai Po (Nouveaux Territoires). C’est ici, loin des gratte-ciels, qu’il s’est installé après avoir vécu vingt ans en France, diplômé de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris dans les années 70. Son atelier se situe dans le parc de sa maison ancestrale, havre de paix fleuri en toute saison, qu’il a lui-même agencé avec une délicate harmonie. Propice à la rêverie créative, ce refuge fait également office de musée intimiste. Chaleureux, l’artiste hongkongais qui parle le Français couramment, est ravi d’introduire à son univers enchanteur les visiteurs en quête de respiration, à l’écart du tumulte urbain. Continuer la lecture
Archives
Catégories
- Anecdotique
- Apollinaire
- Architecture
- BD
- Cinéma
- Danse
- Découverte
- Documentaire
- Enchères
- Essai
- Exposition
- Gourmandises
- Histoire
- Humeur
- Jardins
- Livres
- Mode
- Musée
- Musique
- Non classé
- Nouvelle
- Peinture
- Philosophie
- Photo
- Poésie
- Politique
- Portrait
- Presse
- Publicité
- Radio
- récit
- Société
- Spectacle
- Style
- Surprises urbaines
- Télévision
- Théâtre
Recevez gratuitement la newsletter quotidienne