S’intéresser à la poésie peut parfois amener à frapper à des portes inattendues comme celles de la Banque Centrale d’Uruguay ou tout du moins son site Internet. Le point de départ étant une enveloppe à fenêtre, achetée un jour sur le marché des vieux papiers, avec comme en-tête « Banco Supervielle de Buenos Aires » filiale française (à l’époque) de la Société Générale, la banque au logo rouge et noir bien connu. Parce que cette enseigne partage la même origine que Jules Supervielle (1884-1960), poète dûment répertorié dans le Gotha tricolore. Jules qui a, on peut le dire écrit de jolies choses au cours de sa vie, est né en Uruguay, à Montevideo précisément, là où son oncle avait fondé la fameuse banque. Laquelle depuis, est partie prospérer en Argentine en laissant tomber derechef le pavillon français tout en conservant son vieil ADN. Quant à Jules Supervielle, il a pu user dès son plus jeune âge du papier à en-tête de la Banco Supervielle pour y calligraphier ses premiers mots puis ses premiers textes. De fil en aiguille c’est le moins que l’on puisse dire, d’autres informations du même tonneau, du même compte devrions-nous dire, sont apparues. Continuer la lecture
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